Des études ont montré que le thé participait à la prévention du développement de certains cancers (peau, sein, poumon, œsophage, estomac, poumon). De plus, les effets antioxydants des catéchines joueraient un rôle dans la prévention du vieillissement et de l'ostéoporose.
D’autre part, de nombreuses études épidémiologiques ont montré que le thé noir diminue le risque de développer une maladie cardiovasculaire. La prise de 3 tasses de thé noir par joue diminue le risque de survenue d’infarctus de l’ordre de 11%. Le thé, riche en antioxydants, essentiellement des flavonoïdes et des catéchines, ont une action sur les fonctions du sang et en particulier l’agréagation des plaquettes dont le dysfonctionnement est à l’origine de caillots (thombus) obstruant les artères. Il semble qu’un apport en thé noir réduise l’agrégation plaquettaire de l’ordre de 15%.
Des recherches ont aussi montré que la consommation de thé vert combat l’insulionorésistance et peut participer à la régulation du poids1. Les capacités du thé vert à augmenter les dépenses d’énergie et l’oxydation des graisses semblent spécifiquement dues à la présence des catéchines, les antioxydants du thé. De plus, au cours d’un régime, la consommation de thé, en limitant la baisse de la dépense énergétique due au faible apport énergétique, favorise la perte de poids plus rapide et limite avec succès la reprise de poids en fin de régime.
[1] Wolfram S. Anti-obesity effects of green tea : from bedside to bench. Mol Nutr Food Res. 2006 Feb;50(2):176-87.
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